Test pour comprendre les jalousies entre frères et soeurs (version homme)

Ce test à propos des rivalités et jalousie est extrait du fabuleux livre d’Adele Faber et Elaine « Jalousies et rivalités entre frères et sœurs », que vous pouvez vous procurer sur Amazon.

Nous vous invitons à analyser vos réactions face aux situations suivantes, dans l’objectif de mieux comprendre les sentiments de vos enfants dans les situations « quasi identiques » et de découvrir les causes de leur « méchanceté » envers leurs frères et sœurs.

– Imaginez que votre conjointe mette son bras autour de vos épaules et vous dise : « Mon chéri, je t’aime tellement, tu es tellement merveilleux que j’ai décidé de prendre un autre homme exactement comme toi. ».

VOTRE REACTION ?

– Le nouvel homme finit par arriver. Vous découvrez qu’il est très jeune et plutôt mignon. Quand vous vous trouvez tous les trois ensemble, les gens vous disent bonjour poliment, mais s’adressent au nouveau venu avec ravissement. « Qu’il est adorable ! Bonjour, mon chéri… Tu es un trésor ! » Puis ils se tournent vers vous et vous demandent : « Comment trouves-tu le nouvel homme ? ».

VOTRE REACTION ?

– Le nouvel homme a besoin de vêtements. Votre femme ouvre votre armoire, prend des pulls, des pantalons, et les lui donne. Quand vous protestez, elle vous dit que vous avez un peu grossi, que donc les vêtements sont un peu justes pour vous et qu’ils lui iront à la perfection.

VOTRE REACTION ?

– Le nouvel homme fait des progrès rapides. Chaque jour, il paraît plus intelligent, plus capable. Un après-midi vous êtes en train de vous échiner sur le nouvel ordinateur que votre femme vous a rapporté, afin de comprendre comment il fonctionne. Il bondit dans la pièce et dit : « Oh ! Tu me laisses ta place ? Je sais m’en servir ! ».

VOTRE REACTION ?

– Vous refusez de le lui prêter. Il court trouver votre femme en pleurant. Quelques instants plus tard il revient avec elle. Il a le visage sillonné de larmes, Elle le tient par les épaules. Elle vous dit : « Quel est le problème ? Pourquoi ne veux-tu pas partager ? « .

VOTRE REACTION ?

– Un jour, vous surprenez votre femme et son nouvel homme allongés ensemble sur le lit. Elle le chatouille et il glousse de rire. Le téléphone sonne, elle répond. Puis elle vous dit qu’une affaire importante l’oblige à partir sur-le-champ. Elle vous demande de rester à la maison avec le nouvel homme et de faire en sorte qu’il se sente bien.

VOTRE REACTION ?

– Cela fait maintenant un an que le nouvel homme est arrivé chez vous. Loin de vous être habitué à sa présence, vous le supportez de moins en moins, par moment vous vous demandez si c’est vous qui n’êtes pas normal. Alors que vous vous trouvez assis au bord de votre lit, triste et blessé, votre femme entre. Avant de pouvoir vous en empêcher, vous laissez échapper : « Je ne veux plus de cette personne à la maison. Sa présence me rend très malheureux. Pourquoi est-ce que tu ne peux pas le renvoyer ? ». Voici les différentes manières dont peut vous répondre votre femme :

– Tout cela, ce sont des bêtises. Tu es ridicule. Tu n’as aucune raison de réagir de cette façon.

VOTRE REACTION ?

– Ce que tu viens de me dire me contrarie beaucoup. Si vraiment tu penses cela, alors garde-le pour toi, parce que moi je ne veux pas en entendre parler.

VOTRE REACTION ?

– Ecoute, ne me mets pas dans une situation impossible. Tu sais très bien que je ne peux pas le renvoyer. Il fait partie de notre famille maintenant.

VOTRE REACTION ?

– Pourquoi faut-il que tu ne sois jamais content ? Débrouille toi pour t’entendre avec lui et ne viens pas me trouver chaque fois qu’il y a un petit problème.

VOTRE REACTION ?

– Je ne me suis pas remarié pour moi toute seule. Je sais qu’il t’arrive de te sentir seul et j’ai pensé que tu aimerais avoir de la compagnie.

VOTRE REACTION ?

– Ecoute, chéri. Arrête. Qu’est ce que mes sentiments pour toi ont à voir avec lui ? Mon cœur a assez d’amour pour vous deux.

VOTRE REACTION ?

Alors ? N’avez-vous pas envie de lui faire du mal à ce « deuxième homme » ? Nos aînés ressentent à peu près la même chose envers leurs petits frères ou petites sœurs.

Vous pouvez reprendre la suite de l’article !