Comment communiquer avec son bébé ? (Partie 2)
Cet article est la seconde partie du dossier « comment communiquer avec votre bébé ». Ces deux articles sont notre contribution au Festival « A la croisée des Blogs » du mois de Septembre.
3- Comment interagir avec votre bébé et comment lui parler ?
Nous l’avons vu dans la première partie du dossier, votre bébé a besoin de communiquer pour se développer et s’épanouir. Le but de cet article est de vous proposer quelques méthodes que vous pouvez utiliser pour interagir avec votre bébé. Rappelons bien sûr que cette communication n’est pas l’exclusivité de la maman et qu’il est important que le papa communique lui aussi avec son bébé. Rappelons aussi qu’il faut faire attention à ne pas « sur-stimuler » votre bébé : vous risqueriez de le « saturer » et de le fatiguer. Vous verrez un peu plus loin que votre bébé a parfois besoin de calme et de repos.
Communiquez avec vos regards
Adressez à votre bébé une large palette de regards et d’expressions pour exprimer vos différentes émotions : la joie, la tendresse, la surprise, l’étonnement etc. En vous observant, votre bébé assimile ces regards et, petit à petit, les reproduit. C’est un phénomène que nous avons clairement pu observer avec Léo et Lou… souvenirs de leur « O » d’étonnement singeant parfaitement l’expression de leur père.
Communiquez par le toucher
Le toucher est aussi un excellent moyen pour communiquer avec votre bébé. Embrassez-le, caressez-le, jouez avec ses mains et ses pieds etc. Le bébé est un petit être tactile et tous ces gestes ne feront que favoriser le lien affectif qui vous unis, essentiel à son bon développement
Communiquez en lui parlant
Parler à votre bébé, dès sa naissance, est très important car cela le rassure, stimule sa faculté d’écoute et sa capacité d’apprentissage du langage.
A sa naissance, même s’il ne comprend pas encore ce que vous lui dites, votre bébé sait parfaitement reconnaître votre voix et ses différentes modulations car il s’y est habitué pendant la grossesse. Dès tout petit il saura donc décoder votre humeur du moment à l’intonation de votre voix (douce, joyeuse, ferme etc.).
Il est conseillé de parler régulièrement à son bébé et d’être à l’écoute de ses tentatives de communication. Très vite en effet il testera sa propre voix pour vous répondre. Ne le coupez surtout pas dans son élan, au contraire, écoutez-le et reproduisez ses vocalises pour l’encourager à continuer. Pensez aussi à le féliciter de sa prestation lorsqu’il a terminé. Par expérience, nous ne pouvons que vous encourager à dialoguer avec votre bébé… ce sont des moments uniques !
OK mais que doit-on lui dire ? A ceux qui ne sauraient pas quoi dire un seul conseil : faites simple. Lorsque vous êtes en panne d’idées, racontez-lui simplement ce que vous faites, nommez les objets que vous utilisez etc. De toute façon, tout ce qui viendra de vous sera pour lui source d’émerveillement !
A défaut de trouver quoi dire, vous pouvez aussi lui chanter une chanson ou lui lire une histoire. Accompagner-la bien sur de gestes, d’intonations et de mimiques… votre bébé adorera !
Faut-il lui « parler bébé » ou lui parler comme à un adulte ? Un peu des deux mon capitaine !
Ne faire que « gagatiser » à la « hooouu qu’elle est mignonne dans sa jolie rorobe avec son lolo dans ses petites mimines » ne serait pas une bonne chose. Utilisés à outrance, les onomatopées du « parler bébé » risqueraient, selon les spécialistes, de freiner son développement du langage. Pourtant, sachez que votre bébé adore ce langage, qui l’amuse beaucoup. Et il y a de quoi d’ailleurs : les mimiques que nous faisons lorsque nous lui parlons « bébé » sont en effet souvent bien comiques.
Il est donc préconisé de parler « normalement » à votre enfant, sans le priver cependant de ces moments de détente où vous vous amusez ensemble à « parler bébé ». Bien entendu, lorsque vous lui parlez « normalement », parlez clairement et pas trop vite, en préférant des phrases courtes et simples.
Y a-t-il des choses qu’il ne faut pas lui dire ?
Il est dit qu’un enfant “peut tout entendre”, mais franchement, inutile de lui parler de ce qui ne le concerne pas. Vous pouvez lui parler de votre prochain déménagement ou même de votre séparation, mais rappelez-vous que votre bébé n’a pas à être votre « confident ». Sachez que lorsque vous avez des soucis, que vous êtes stressé, votre bébé a tendance à penser être la source des vos problèmes. Rassurez-le en lui parlant simplement, avec votre cœur, et en lui faisant comprendre que ce n’est pas de sa faute.
4- L’utilisation du langage des signes pour bébé :
Un autre moyen de communiquer que vous pouvez aussi tester : le langage des signes pour bébé. C’est un langage inspiré de la langue des signes mais adapté aux tout petits. Cette pratique est de plus en plus en vogue dans les pays Anglophone, elle débarque en France.
Le langage des signes pour bébé propose d’apprendre à votre enfant à se faire comprendre avant même de savoir parler, en associant systématiquement certains mots à des gestes particuliers.
Il est conseillé d’introduire les geste petit à petit, sans jamais insister ou forcer le bébé à vous imiter. Certains préconisent de commencer dès la naissance et d’autres d’attendre les 6 mois de l’enfant. Utiliser les signes renforcerait les liens, la complicité, et faciliterait les échanges et l’apprentissage du langage parlé.
Ce qui est sûr c’est que la majorité des bébés adorent se prêter à ce jeu « qui semble tant plaire à Maman et Papa ».
Notre petite Lou parle déjà plutôt bien du haut de ses 26 mois et n’a plus besoin de signes pour se faire comprendre. Heureusement nous aurons bientôt la possibilité d’expérimenter cette technique avec la p’tite dernière… vous aurez bien entendu le droit à un rapport détaillé .
Pour en savoir plus sur le langage des signes pour bébé, vous pouvez consulter les sites suivants :
Signes bébé
Signes 2 mains
Signe avec moi
Des vidéos exemples sur Wikisign
5- Comment décrypter les pleurs de votre bébé et faut-il le laisser pleurer ?
Nous l’avons vu dans la première partie du dossier, votre bébé utilise lui aussi divers moyens pour communiquer avec vous. Quand tout va bien, ces gestes, ses mouvements, ses premiers sourires et ses vocalises sont à croquer. Manque de bol pour nous les parents, quand quelque chose ne va pas ou lorsqu’il a un besoin à satisfaire, les cris et les pleurs sont ses seuls recours. De quoi mettre nos nerfs à rude épreuve. Même si cela ne vous consolera pas, soyez en tout cas rassuré : il est parfaitement normal que votre bébé pleure. L’inverse serait en fait beaucoup plus inquiétant.
Pour les spécialistes de l’enfance, la plupart des pleurs seraient évitables, ou du moins rapidement consolables, si les parents savent répondent rapidement et correctement au besoin de leur enfant. Mais encore faut-il savoir les décoder nous direz-vous. Et nous sommes bien d’accord, car pour être francs avec vous, nous n’avons rien décodé du tout pour Léo et pour Lou. L’élaboration de ce dossier nous permettra sans doute de mieux comprendre la p’tite troisième.
Mais d’abord, quand est-il du grand débat (générationnel ?) de savoir s’il faut, ou pas, laisser pleurer son bébé ?
Tout le monde semble aujourd’hui s’accorder à dire qu’un bébé ne pleure pas « pour rien », et encore moins « par caprice ». Les bébés pleurent pour exprimer un mal-être, un besoin, un manque auquel il faut répondre : faim, douleur, fatigue, ennui, frustration, besoin d’affection etc.
Donc contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent et que nous avons (malheureusement) quelques fois appliqué avec Léo et Lou : NON il n’est pas conseillé de laisser pleurer votre bébé !
L’idée reçue selon laquelle un bébé qu’on ne laisse jamais pleurer deviendra un « enfant capricieux » reste, c’est vrai, répandue. Ceux qui pensent ainsi ont pourtant tout faux car il a été prouvé que, surtout les trois premiers mois de sa vie, le bébé pleure pour créer un lien avec ses parents et s’assurer que l’on va bien s’occuper de lui.
Certaines études ont même montrées que, plus les parents répondent rapidement aux pleurs de leur bébé, plus celui-ci apprend la patience : « les bébés auxquels les mamans ont répondu tôt et de manière « maternante » réduisent leurs pleurs de 70 % et utilisent bien moins les pleurs comme moyen de communication, passé l’âge d’un an. ». En fait, si on y pense bien c’est logique : sachant que ses parents réagissent rapidement à ses appels, le bébé devient moins anxieux et a, du coup, de moins en moins recours aux pleurs. Ces mêmes études ont aussi prouvées que les bébés qui ont été régulièrement et rapidement entendus, consolés, réconfortés, auront tendance à devenir des enfants tranquilles, confiants et indépendants.
Certains psychiatres affirment qu’à l’inverse, laisser pleurer son bébé c’est lui apprendre à se résigner et à ne pas pouvoir faire confiance aux adultes.
Savoir décoder les différents types de pleurs :
Souhaiter répondre rapidement à l’appel de son bébé est une chose… arriver à trouver la raison des ses pleurs en est une autre !
Il pleure parce qu’il a faim
Comment reconnaitre ces pleurs : ils démarrent par un cri strident, suivi d’un silence (inspiration), puis d’un cri continu et insistant. Tant qu’il n’aura pas mangé, le bébé crie de plus en plus fort et s’agite de plus en plus. Ces pleurs sont les plus faciles à reconnaître par les parents car ce sont les plus fréquents.
Comment y répondre : Il ne faut pas laisser pleurer un bébé qui a faim, même s’il a déjà mangé récemment. Sachez que la faim, chez le bébé, se transforme rapidement en douleur et en angoisse : elle doit vite être satisfaite. Donnez-lui le sein ou un biberon et rassurez-vous, si ce n’est pas la faim qui le fait pleurer, il tournera la tête ou fermera la bouche.
Il pleure parce qu’il s’ennuie ou a envie d’être pris dans les bras
Comment reconnaitre ces pleurs : Ils commencent par de petits cris de protestations suivis de gémissements, puis de hurlements. Lorsque votre bébé en a assez d’être assis dans son transat ou allongé dans son lit alors qu’il est réveillé depuis un moment, il vous fait savoir qu’il a besoin de vous. Il a tout simplement envie de vous voir, de vous entendre, d’être dans vos bras.
Comment répondre : N’hésitez pas à le prendre ! Comme nous l’avons vu plus haut, répondre à ses besoins ne fait que renforcer son sentiment de sécurité et permettra, à terme, de diminuer son besoin d’être pris dans les bras.
Il pleure parce qu’il est fatigué
Comment reconnaitre ces pleurs : Ils commencent par des petits gémissements et grognements, sans cause apparente, puis les pleurs s’intensifient et le bébé se tortille de plus en plus. Ce qui est délicat avec les pleurs de fatigue c’est que plus votre bébé pleure, moins il arrive à se calmer et à s’endormir (alors que c’est ce dont il a besoin).
Comment répondre : Il est important d’apprendre à repérer les signes de fatigue de votre bébé (bâillements, yeux frottés, agitation etc.) pour pouvoir y répondre rapidement. Dès que cela est possible, couchez-le loin de toute agitation. Certains bébés trouverons immédiatement le sommeil (ça c’était Léo), d’autres auront besoin de « pleurer un bon coup » pour se vider de leur tension (et ça c’est Lou !). N’hésitez pas à l’aider à se calmer en lui parlant doucement ou en lui chantant une berceuse.
Dès que votre bébé aura un rythme de sommeil régulier, évitez bien sûr de le sortir aux moments où il s’endort d’habitude.
Sachez aussi que les « pleurs de fatigues » sont plus fréquents en soirée, votre bébé ayant été sollicité toute la journée. Pas de bol donc car c’est souvent vers 18h00 : pile poil au moment ou papa/maman rentrent du boulot. Faites tout pour ne pas être stressé à ce moment (C’est plus facile à dire qu’à faire
Il pleure parce qu’il a mal
Comment reconnaitre ces pleurs : Le cri du bébé associé à la douleur est généralement bref, soudain, puissant, et perçant. La respiration se bloque puis les cris se font de plus en plus aigus, sans qu’il soit possible de l’apaiser. Ce genre de cris signifient soit que votre bébé est malade (vérifiez d’emblée sa température) soit qu’il a un érythème fessier, des coliques ou une poussée de dents.
Comment répondre : Si vous n’arrivez vraiment pas à calmer les pleurs de votre enfant il n’y a qu’une chose à faire : le montrer à un médecin.
Pour les coliques, dont beaucoup de bébés souffrent les premiers mois (votre bébé se tortille, devient rouge et fait des gazes), vous pouvez tester la position « anti-coliques » qui calme les douleurs intestinales par la chaleur et la pression exercée sur le ventre. Mettez votre bébé à cheval, ventre appuyé sur votre avant-bras, la tête dans le creux du coude et votre main passée entre ses jambes. Cette technique a toujours très bien fonctionnée pour Léo et pour Lou.
Quand rien ne marche
Si les pleurs ne correspondent à aucun des cas de figure ci-dessus, vous pouvez aussi vérifier que :
1- votre bébé n’a pas trop chaud ou froid : glisser un doigt dans son cou ou sur son ventre pour évaluer sa température. Enlevez ou ajoutez-lui un vêtement et donnez-lui à boire : de l’eau s’il fait trop chaud, un biberon chaud ou le sein s’il a froid. N’oubliez pas que la température idéale de sa chambre est entre 18 et 20°.
2- Sa couche n’est pas sale : certains bébés ne supportent pas la sensation d’humidité. Vérifiez l’état de la couche et changez la si nécessaire.
Malheureusement, à moins que vous ne soyez doté de « supers pouvoirs », il y aura forcément des pleurs que vous n’arriverez pas à comprendre. Dans ces moments là, si vous ne trouvez vraiment pas ce qui le gène, exprimez lui quand même votre compassion : faites lui comprendre que vous êtes « à ses côtés » et que c’est aussi dur pour vous de ne pas arriver à le soulager.
Sachez aussi que parfois, votre bébé pleure pour se soulager. Les pleurs ont un pouvoir apaisant et le libèrent de ses tensions (c’est surtout vrai en fin de journée). Certains spécialistes disent même qu’une certaine quantité de pleurs est nécessaire et témoigne de la bonne vivacité d’un bébé. Il semblerait que les bébés qui pleurent beaucoup deviennent des enfants éveillés et toniques qui se développent particulièrement bien, tant sur le plan physique qu’intellectuel… Ce que nous aurions plutôt tendance à confirmer
Petit récapitulatif des techniques pour apaiser votre bébé quand il pleure :
– Restez calme : Même si vous n’arrivez pas à déceler immédiatement l’origine du problème, forcez-vous à rester calme pour ne pas entrer dans le cercle vicieux : bébé pleure, cela vous stresse, il ressent votre stress et pleure de plus belle etc.
– Parlez-lui doucement ou chantez-lui une berceuse: Les paroles douces ont un effet calmant, surtout lorsqu’elles sont prononcées par les parents. Votre bébé reconnait votre voix, qui est associée pour lui à un sentiment de sécurité.
– Offrez-lui quelque chose à téter : Les bébés ont un grand besoin de succion, qui n’est pas forcément qu’alimentaire ! Téter les rassure, les tranquillise et les calme. Léo, qui n’a jamais eut de tétine, se calmait dès que sa mère lui donnait son petit doigt à téter.
– Portez-le dans vos bras : Au chaud contre vous, respirant votre odeur et sentant le battement de votre cœur, le bébé ressent un sentiment de protection et de sécurité. Quand c’est possible, préférez le contact « peau à peau »… l’effet calmant est souvent radical !
– Bercez-le : dans vos bras ou dans un berceau, le balancement a clairement des vertus apaisantes. Le bébé cale sa respiration sur le mouvement de balancier et se calme ainsi peu à peu. Plus le bercement est appuyé et lent, plus il est efficace.
– Promenez-le : Sortir est toujours un excellent remède aux pleurs d’ennui ou de tension. Que ce soit pour une balade en poussette ou en voiture, les bébés adorent la sensation procurée par le mouvement, sans parler des millions de choses qu’ils découvrent en regardant autour d’eux. C’est une technique qui a toujours parfaitement fonctionnée avec nos deux loulous : Ils étaient généralement endormis en 5 minutes chrono! Nous conseillons cependant plutôt la poussette dans laquelle l’enfant peut faire une sieste alors qu’avec la voiture, le risque est grand de le réveiller en le sortant de son siège auto.
Si vous n’arrivez plus a supporter ses cris et ses pleurs:
– Quand c’est possible, passez le relais : au papa, aux grands parents, à une amie etc. et profitez-en pour vous reposer !
– Si vous êtes seul, installez-le bien à l’abri dans sa chambre, et allez respirer ailleurs quelques instants (pas trop loin quand même). Vous retrouver momentanément avec vous-même vous permettra de reprendre votre calme.
– Surtout, profitez de chacune de ses siestes pour vous reposer vous aussi !
Voila, c’est la fin de ce dossier “comment communiquer avec votre bébé”, nous espérons sincèrement que vous y aurez appris autant de choses que nous en avons appris pendant son élaboration.
Communiquer avec son bébé est une sacrée aventure, pas tous les jours facile, mais au combien gratifiante.
Ce dont nous sommes convaincus en tout cas c’est que le fait de communiquer avec son bébé, par tous les moyens possibles, c’est favoriser sa faculté à communiquer correctement dans sa vie future : sa vie d’enfant, sa vie d’adolescent, sa vie d’adulte et à son tour … sa vie de parent.
N’hésitez pas à nous faire part de vos expériences et de vos anecdotes en nous laissant un commentaire, nous serons ravis de les lire et elles seront forcément utiles à d’autres parents.
A propos des Auteurs de ce blog :Camille et Olivier sont les heureux parents de 3 merveilleux bambins. Ils se sont donné pour mission de leur proposer le meilleur en termes d’éveil et d’éducation… et de devenir des “Supers Parents”. |
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37 Comments
Anne-lise · 21 septembre 2011 at 14 h 07 min
Wahouuuuu 🙂
Bravo, votre dossier est on ne peux plus complet 🙂 Voilà de quoi rassurer et aider bon nombre de jeunes parents 😉
Ma petite contribution niveau témoignage :
Mon fils à 10 mois, je ne l’ai jamais laisser pleurer, les 2 premiers mois, il y a même eut beaucoup de co-dodo. Et depuis sa naissance, si Kyllian pleur c’est qu’il a vraiment quelque chose. Il parvient toujours à nous faire comprendre ce qu’il veux sans pleurer.
Encore félicitation pour votre dossier « comment communiquer avec son bébé » et à très bientôt
Camille et Olivier · 22 septembre 2011 at 22 h 14 min
Merciiiiiii pour ton commentaire et ton témoignage 😉 .
A très bientôt Anne-lise
Michele · 22 septembre 2011 at 10 h 20 min
Bravo ! Votre article devrait être lu par tous les jeunes parents qui ont besoin d’être rassurés…
Ceci ne me concerne je ne suis plus vraiment puisque je suis maintenant plutôt en âge d’être grand mère 😉 mais je trouve vos conseils très pertinents.
Alors continuez ainsi et à bientôt,
Amicalement,
Michèle
Camille et Olivier · 22 septembre 2011 at 22 h 33 min
Merci Michèle!
Cela peut également être utile pour une grand-mère ou une future grand-mère! 😉
A bientôt.
Camille et Olivier
Roy · 22 septembre 2011 at 10 h 28 min
Il me semble que je ne suis jamais venu visiter votre blog. Alors ma première impression est quelle richesse de conseils! Je ne m’attendais pas à en apprendre autant!
Je n’avais aucune idée de l’importance du regard pour le bébé mais en même temps maintenant que je l’ai lu ça me paraît logique. Lui parler comme à un adulte, ça je l’ai souvent entendu dans les émissions télé du genre des maternelles ^^. Je ne sais pas comment vous vous organisez pour la rédaction mais c’est un super travail.
Camille et Olivier · 22 septembre 2011 at 22 h 53 min
Merci beaucoup Roy! et bienvenue sur notre blog!
En effet le bébé est capable de communiquer et il a même un besoin vital de contact et de stimulation diverses! Alors tous les moyens sont bons pour l’éveiller et interagir avec lui.
Bonne soirée et à bientôt!
Sylviane · 23 septembre 2011 at 9 h 22 min
Tout comme Roy c’est la première fois que je viens sur votre site et tout comme Michèle je ne suis plus en âge d’avoir des bébé mais vos conseils sont intéressants et peuvent aider de jeunes parents souvent désarçonnés par les comportements de leur premier enfant.
Être parent n’est pas une mince affaire et chacun fait comme il peut avec ce qu’il sait et sent. Juste pour vous faire rire (ça me fait rire moi-même aujourd’hui quand je l’évoque) j’avais acheté un réveil pour ne pas manquer les horaires biberon de ma fille et bien sûr je ne l’ai employé qu’une fois car ses pleurs m’ont vite avertie qu’il était l’heure.
Excellent article
Camille et Olivier · 23 septembre 2011 at 23 h 25 min
Merci pour l’anecdote Sylviane ! Et n’hésitez pas à prêcher la bonne parole auprès des jeunes parents que vous côtoyez… donnez leurs l’adresse de notre blog 😉
Arnaud · 8 janvier 2012 at 13 h 54 min
Salut Camille et Olivier,
Bravo pour votre blog, Je suis du même avis que les lecteurs ci-dessus : c’est assez rare de trouver des articles aussi complet et détaillés et le blog est joli, la lecture se fait bien vraiment un blog à faire connaitre.
En ce qui concerne les liens des formations à la langue des signes vous pouvez rajouter Lingueo le dernier arrivé sur la langue des signes mais qui selon moi va faire un carton car les cours se font a distance sans se déplacer et sans avoir besoin d’être un minimum de 5 familles : le lien vers la formation est : http://www.lingueo.fr/langue-des-signes-pour-bebe.html
Et le nouveau portail que la langue des signes pour bébé : http://languedessignesbebe.com/
Bonne continuation et très bon début d’année 2012
A
sylvie · 13 mars 2012 at 17 h 12 min
Très intéressant… Je vous explique le contexte dans lequel je me trouve…
Ma fille a 16 mois: elle dort dans sa chambre depuis qu’elle en a deux, a toujours été très sereine et tranquille; elle a fait ses nuits très tot, donc il est vrai que nous avons toujours bien dormi nous aussi…Donc…. une enfant parfaite…On lui lit des histoires avant d’aller au lit, nous sommes à son écoute,…
Et depuis une semaine… patatrac… Mademoiselle M s’endort tranquillement dans son lit le soir, et quelques heures plus tard, c’est la catastrophe… elle se réveille en hurlant et en pleurant, et plus moyen de la calmer…Resultat, elle ne se rendort que dans le lit de papa-et-maman….Du jamais vu! Elle n’a jamais dormi avec nous, meme par 40 de fièvre…
Question: est-ce passager? Je suis preneuse de tout bon conseil… Merci
Camille et Olivier · 13 mars 2012 at 18 h 31 min
A priori cela ressemble à la phase des terreurs nocturnes (Wikipédia : ) « La terreur nocturne commence en début de nuit ou de siestes longues (dans les une à trois heures après l’endormissement) par un cri de panique. L’enfant est souvent assis sur son lit, les yeux écarquillés et fixes, en mydriase. Il a l’air terrifié, hurle, et est insensible aux tentatives de ses parents pour le rassurer : il se débat, lorsqu’on tente de le toucher pour le calmer. La crise dure de une à 20 minutes et s’accompagne de tachycardie, polypnée, agitation, sudation, cris, rougeur du visage ou parfois pâleur. Il prononce parfois des propos incohérents. Généralement, en fin de crise, l’enfant s’apaise spontanément et se rendort. Il ne garde aucun souvenir de la crise, mais elle laisse en général ses parents très inquiets et désemparés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Terreur_nocturne
Trouver aussi sur le web :
Les terreurs nocturnes concernent souvent des enfants qui ont de gros besoins de sommeil et surviennent dans des périodes de leur vie très riches en acquisitions.
Il peut donc être utile de coucher l’enfant un peu plus tôt et de veiller à ce qu’il mène une vie régulière.
A noter : si les crises deviennent fréquentes et durent depuis plusieurs mois, mieux vaut toutefois en parler à un pédiatre.
Nous sommes aussi passé par la avec Lou qui a 2 ans et demi, cela n’a duré que quelques semaines.
Bon courage Sylvie
Sylvie · 13 mars 2012 at 22 h 51 min
Merci pour ces conseils!
Effectivement, j’ai lu des articles sur ces terreurs nocturnes, qui chez ma fille ne passent pas vraiment en 20mn…
Je vous tiens au courant de la suite des évènements…
douta · 16 août 2012 at 11 h 37 min
Merci pour cet article et pour ce blog, qui quand le doute m’empare, m’aide bien à me recentrer sur mon « métier » de maman.
J’ajouterai que l’écharpe ou autre mode de portage physiologique est un miraculeux objet pour calmer les bébés et les endormir rapidement.
C’est encore vrai avec ma fille de 1an…
Camille et Olivier · 20 août 2012 at 12 h 00 min
Hello Douta,
En effet, bercé par les mouvements et rassuré de sentir son père ou sa mère, l’enfant s’endort beaucoup plus facilement lorsqu’il est porté en écharpe. Nous en avions parlé dans cet article : http://www.supersparents.com/10-bonnes-raisons-d-adopter-le-portage-en-echarpe/.
A très bientôt
Momo · 26 mars 2017 at 0 h 04 min
Écharpe de portage ou porte- bébé physiologique (type Manduca, ça marche aussi, non?
Bérengere · 20 août 2012 at 14 h 42 min
Qu’est ce qu’on peut encore entendre des horreurs comme « laisse pleurer ca lui fait les poumons » ou « il va etre capricieux » ou « tu ne le laisse meme pas s’exprimer »… Bébé pleurait dès qu’on le couchait! c’est du cinéma biensur! Eh non, oesophagite. Il faut écouter son bébé.
Par contre, je trouve qu’après 8 mois c’est plus compliqué de distinguer le vrai pleur et le « je pleure car je sais que maman va m sortir du lit pdt 3h » 🙂
Camille et Olivier · 23 août 2012 at 11 h 18 min
Hello Bérengère,
Un dossier complet sur le sommeil de bébé est en préparation !!
A très vite
Gerard · 17 septembre 2012 at 21 h 16 min
Bonjour à vous,
Votre site est superbe. Pour votre dossier sur le sommeil je vous conseille de lire « Mon enfant dort mal ». C’est un ouvrage complet qui explique les phases du sommeil en fonction de l’age, comment remédier aux problèmes de sommeil. Pour nous ce fût une révélation et nous a sauvé, car ça faisait six mois et demis que nous ne dormions plus, que je me levais toutes les 2 heures pour allaiter ma fille.
Bonne lecture et et surtout bonne continuation.
Camille et Olivier · 20 septembre 2012 at 10 h 07 min
Bonjour Gérard, et merci du conseil ! Nous venons de commander le livre sur Amazon car les nuits sont en effet plutôt compliquées chez nous aussi en ce moment : Lou (3 ans) est en pleine phase des « peurs » (du noir, des monstres etc…) et sa petite sœur Lili (11 mois) reste très difficile à endormir le soir.
Nous allons lire attentivement le livre, tester les méthodes proposée et certainement vous faire un feed back sur le blog.
Romain · 9 décembre 2012 at 7 h 33 min
Tres bon dossier qui m’a rassure sur toutes les choses que je fais correctement avec mon bebe sur la communication. Je vais mettre en pratique le language des signes des maintenant avec mon petit James.
Question cependant; j’ai entendu dire par mon pediatre que lorsque l’enfant atteint 4 mois, il est temps de lui apprendre a passer ses nuits entieres. Et pas consequent espacer les reponses aux pleurs de plus en plus. Avez-vous aussi entendu parler de techniques semblables?
Camille et Olivier · 10 décembre 2012 at 14 h 23 min
Hello Frangin (et voui… c’est mon ptit frère qui vient d’avoir son premier enfant !!).
Mieux vaut être à l’écoute de son enfant… que de son pédiatre 😉
Voilà notre sentiment : tu n’as pas besoin de lui « apprendre » à faire ses nuits… il apprendra tout seul, comme tous les bébés, que le rythme normal c’est « on dort la nuit et on reste éveillé le jour ».
Ton pédiatre a raison cependant s’il entend par « espacer les réponses aux pleurs » le fait d’attendre maintenant un peu plus longtemps, pour voir si James ne va pas se rendormir sans votre intervention. Il faut savoir qu’un enfant se réveil environ toutes les 2 heures (ce qui équivaut à un cycle de sommeil), pour se rendormir, généralement tout seul.
Si les pleurs ne cessent pas alors il faut bien sûr il faut intervenir, c’est que quelque chose ne va pas (faim, chaud, froid, besoin d’être changé, besoin d’être rassuré, etc.).
En tout cas… on ne laisse pas un bébé pleurer « pour lui apprendre à faire ses nuits » !
Bises frérot
Olivier
Romain · 10 décembre 2012 at 19 h 50 min
Ok cool, je pense que c’est ce qu’il impliquait. Merci et tres bon site! Je vais passer mon temps dessus maintenant! Bisous a toute la famille!
Maud · 21 octobre 2013 at 16 h 55 min
Super article ! Merci beaucoup !
laetitia · 20 janvier 2014 at 21 h 54 min
Alors voilà je decouvre aujourd’hui votre blog puisque je suis à la recherche de reponses sur les pleurs de mon 2 ème petit garçon de 14 mois. Mon 1er garçon a été un bébé très calme, très souriant et a très peu pleuré jusqu’à la période de l’opposition et des colères des 2-3 ans… pour mon 2 ème, tout a été tout de suute très différent: on a commencé dès la naissance par les pleurs de fin de journée et maintenant ça prend des proportions terribles…Impossible de lui dire non, de tenter de fixer des limites, de le changer sur la table à langer sans engendrer des cris, des pleurs, des roulages par terre difficiles à consoler… je ne pensais pas que de tels comportements pouvaient exister à cet âge. Nous sommes un peu dépassés, avec l’impression d’avoir un peu tout essayé : calins, explications, le bercer, le gronder avec une grosse voix et aucune solution ne trouve grâce à ses yeux.
on est donc preneur d’idées nouvelles. Merci pour votre blog
laetitia
Valérie · 2 mai 2015 at 20 h 01 min
Bonjour,
je vous fais part de ma situation un peu complexe.
Tous les enfants sont différents , il va sans dire. Mais ma situation est un peu particuliere.
Mon fils a 3 mois et demi et son modele de sécurité pour l’instant est papa. Moi , j’avais fais une dépression post partum apres les deux semaines qui ont suivi mon accouchement , et c’est comme si j’avais pas réussi , tout comme son papa, a créer des liens aussi forts et aussi intenses.
Lorsque papa n’est pas la , mon fils en pleure sa vie. C’est vraiment fou. Toute la journée ,il peut pleurer et on ne sait meme plus pourquoi il pleure tellement il peut pleurer.
Il ne démontre aucun signe de fatigue ni de faim a son papa alors qu’avec moi , il ne cesse de gigoter ou d’etre plus ‘passif’ . Je le vois bien qu’il est fatigué mais je ne sais plus quoi faire pour lui faire une belle routine et ainsi lui permettre de dormir plus et d’entrer en relation avec lui.
Quand papa est la , tout va bien quand meme . Tant qu’il est dans la meme piece. S’il ne le voit plus , il hurle tres fort ,et des que je me pose sur le divan avec lui , il hurle tandis qu’avec son papa, il sourit et rit beaucoup.Il me sourit parfois , mais des qu’il sent que papa n’est pas la , il devient soudain inquiet. Ca me fait vraiment peur.
On voulait mon conjoint et moi tenter la méthode du 15 secondes de Brigitte Langevin pour lui apprendre les siestes , les nuits et lui faire des horaires plus stables. Je n’aime pas parler comme ca , mais nous n’avons plus trop le choix , pour son dévellopement. Qu’en pensez vous?
Il est tellement fatigué et ne réussit pas a se créer son propre droit d’aller vers le sommeil , et étant donné que mon conjoint va travailler bientot , on ne peut pas jouer avec son endormissement ,. c’est trop important.
Pour l’instant , il dort dans notre lit conjugal entre nous. J’essaie de le rassurer mais ca me prend environ 1 hrs et demi pour l’endormir. Je ne sais pas quoi en penser , ni que faire .
Il se mange beaucoup les poings et le pouce , mais avec mon chum rien de cela, on dirait qu’il est déstabilisé un peu et a prit papa pour maman.
Je ne sais plus quoi faire , si quelqun a déja vecu cela. Et comment faire pour y remédier.
Merci
Camille et Olivier · 18 mai 2015 at 14 h 40 min
Bonjour,
Je ressens beaucoup de détresse dans votre message.
Je ne connais pas très bien la méthode de Brigitte Langevin.. mais d’après le peu que j’ai pu en lire, je ne suis pas en accord avec ses propos… surtout que votre fils n’a que 3 mois et demi .
C’est difficile pour moi de vous répondre à la simple lecture de ce mail, il me manque beaucoup d’éléments..
J’imagine que l’arrivée de votre fils, avec votre dépression post partum, a du être une période très compliqué au niveau émotionnel pour vous tous. Maintenant, il vous faut trouver votre place. Vous êtes dans une période d’adaptation. Vous allez mieux, et voulez prendre votre plus de place dans le quotidien de votre enfant.. super !
Prenez le temps de parler à votre fils, même à cet âge, les enfants comprennent beaucoup de choses !
Vous pouvez lui expliquer, que vous vous êtes sentie fatiguée un peu triste, et que vous aviez vraiment besoin de vous reposer, pour pouvoir revenir vous occuper de lui aujourd’hui en pleine forme ! Vous pouvez également lui exprimer vos émotions, vos peurs..
Comme le comportement des enfants reflète souvent les peurs des parents, je me permet de vous poser cette question : Comment vous sentez-vous vous ? Comment vous sentez vous quand le papa est absent ? Comment est votre relation avec votre conjoint ?
Votre enfant sera calme, se sentira en sécurité, sera en confiance… uniquement si vous l’êtes, et si vous vous aimez et respectez suffisamment en tant que femme / mère.
L’avez-vous emmené voir un ostéopathe ? Je ne peux que vous le conseiller, vu, mes expériences personnelles ! Cela a réglé des problèmes de digestion, de sommeil, de posture…
Tous les bébés devraient voir un ostéo !
Votre bébé, vous manifeste des choses différentes à vous et votre conjoint.. et à vous qui êtes sa mère (lien particulier pendant la grossesse) il manifeste sa fatigue, sa colère, sa détresse.. ce qui est souvent le cas entre l’enfant et sa figure d’attachement!
Dans l’attente de vous lire,
Belle journée
Sarah · 21 août 2015 at 15 h 41 min
Bonjour,
ma fille a 4 mois et demi et je n’en peux plus… Désolé pour ce message bien pessimiste mais je suis sur le fil du rasoir niveau ressources psychiques. Nous avons beaucoup de pb d’argent et de logement. Nous vivons dans un studio de 30 m2 avec une seule pièce à vivre et le moindre bruit réveille notre petite. J’ai mené de front ma grossesse et une reprise d’étude par correspondance. Un mois après mon accouchement je suis montée sur paris avec mon mari et ma fille que j’allaite pour passer mes examens. J’ai eu ces examens avec 14 de moyenne et ce en allaitant ma fille plusieurs fois par nuit. C’était important pour moi car j’avais vraiment besoin de poursuivre ces études pour passer les concours d’enseignant et améliorer enfin notre situation financière avec un salaire fixe. J’ai enchainé les mauvaises nouvelles et difficultés et on m’a refusé une bourse universitaire pour l’an prochain. Non seulement je ne peux poursuivre mes études mais nous sommes dans une situation catastrophique sans cette bourse, et mes perspectives d’avenir compromises… Malgré cette situation jusqu’au trois mois de ma fille je gérais tout et mon moral était bon. Mais avec l’accumulation ça ne va plus. Déjà depuis la naissance ma fille pleure énormément entre les coliques et son reflux. Elle dort peu la journée sauf dans son transat qu’il faut balancer tout le temps. Le soir elle n’accepte pas son lit et je dois l’endormir au sein et je ne peux la poser avant minuit. Le pb est que dès 20h on éteint tout pour la préparer au sommeil dans une ambiance calme donc on mange pas ou dans le noir. Le midi je ne mange pas car pas le temps de préparer sinon elle pleure. Il fait chaud donc je ne peux pas mettre l’écharpe de portage. Je l’ai emmené voir un osthéo deux fois ce qui a été efficace pour ces tensions et un pb au niveau de sa tête mais pas d’impact sur le sommeil. Je l’allaite toujours exclusivement bien que la tétée soit de plus en plus galère… J’ai une hyperlactation et un ref qui explique ses gaz et coliques. Mais maintenant avec le stress et fatigue mon reflexe d’jection se bloque et elle hurle du coup je me crispe et je finis par faire sauter des tétées. Je vois un acupuncteur pour essayer de retrouver le sommeil mais j’ai de plus en plus de mal à supporter les cris et pleurs de ma fille. J’ai vu aussi une pédiatre spécialisée dans l’allaitement qui m’a dit que ma petite allait bien et avait un fort sentiment de sécurité intérieure. Elle est très éveillée; plutôt en avance et sourit beaucoup. Mais moi je vais de plus en plus mal et bien que je ne l’ai jamais laissé pleurer jusqu’à présent je n’ai plus la force ni la patience d’entendre ces cris. Que faire? Est-ce que cela va aller mieux avec le temps? On nous avait dit trois mois mais j’ai l’impression que c’est de pire en pire… Je continue de l’allaiter car j’ai peur que sans les hormones de l’allaitement je fasse une décompensation et tombe en grave dépression. Avez vous des pistes de solutions?
Matheo Alga Edmond · 3 août 2016 at 7 h 14 min
Slt! Je cherche des reponses et je suis tombée sur votre blog et c’est waw… Mon bb a 13 mois parfois j’ai tendence à croire qu’il ne m’aime pas,on dirait qu’il se sent beaucoup plus à l’aise avec le fils du voisin qui a 12 ans. Parfois mme il fait des petites tentatives,on dirait qu’il veut se battre avec moi. Je voudrais savoir si c’est normal que mon bb prefere quelqu’un d’autre a moi, ou c’est moi qui ai fait quelque chose de travers. Comment faire pour le rapprochement? Votre reponse je vous prie. Merci
Angélique Mathieu · 7 février 2017 at 17 h 22 min
J’aimerais bien connaître le pourcentage de parents qui arrivent à décoder les pleurs de leur bébé!
Parce que ça me semble bien difficile :-/
Je me pose une question: comment se fait-il que des bébés qui pleurent parce qu’ils sont fatigués, aient pourtant assez d’énergie pour pleurer et gesticuler.
Pourquoi est-ce qu’ils pleurent dans ce cas?
Je voulais aussi savoir ce qu’on peut faire quand on n’arrive vraiment pas à savoir pourquoi notre bébé pleure?
Et que rien n’arrive à le calmer?
Charline · 15 décembre 2017 at 13 h 34 min
Bonjour,
Je suis maman moi aussi d’une petite Lou qui aura 2 mois lundi. Elle commence à faire ses nuits (parfois que 6 heures de dodo et parfois jusqu’à 10h). Tout va bien à priori pour elle ! Elle mange bien, elle a l’air apaisée. Éléments est très éveillée et souriante. On répond rapidement à ses pleurs, qui parfois n’en sont même pas, juste des petits cris pour dire eh oh, j’ai faim là !
Le problème c’est que moi, je ne fais pas mes nuits… je crois l’entendre pleurer, alors qu’en fait il n’en est rien. Tout est calme et pourtant, j’entends toutes les modulations de ses pleurs/cris; on a un baby-phone, qui se déclenche en cas de pleurs, et qui reste lui aussi silencieux. Et pourtant, je n’arrive pas à m’endormir, car je l’entend vraiment pleurer. C’est assez angoissant au final de l’entendre pleurer même quand elle ne pleure pas (de l’art de se créer des problèmes quand il n’y en a pas). Ça vous est déjà arrivé ?
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